FRIME, FILLES ET SEXE.
C’est devenu un slogan national
Et même international pour tout
Le monde :
FRIME, FILLES ET SEXE.
Frime, filles et sexe
C’est notre vie de jeunesse,
Frime, filles et sexe
Il faut vivre sa jeunesse.
Frime, filles et sexe
A quoi sert notre jeunesse
Si on ne frime pas,
Si on ne flirte pas
On sait que la vieillesse
Non, ne sexe pas
Alors si dans notre jeunesse
On ne fait pas tout cela
On nous prendra pour des gagas
Et même de la bouche de la vieillesse
On dira il n’a pas profiter de sa jeunesse
Y a-t-il une jeunesse
Qui n’aime pas la fesse,
Qui n’aime pas le sexe ?
Frime, filles et sexe
C’est toute notre jeunesse,
Frime, filles et sexe
Il faut vivre sa jeunesse.
Si tu ne frimes pas,
Si tu ne flirtes pas,
Situ ne sexes pas
A quoi sert ta jeunesse ?
Avec ma coupe très in,
Mon beau blue-jean,
Ma belle moto rétro
Et une fille svelto
Aux yeux menthe à l’eau
FRIMES, FILLES ET SEXE.
Sur la route du soleil
En escapades sous le ciel
On prend des ailes,
On se sent des ailes
Pour le septième ciel.
Frime, filles et sexe
Quoi de plus beau
Quelle belle jeunesse
N’est ce pas frérot ?
Frime, filles et sexe
Que rêver de mieux,
Frime, filles et sexe
Et on est heureux
Frime, filles et sexe
C’est notre vie de jeunesse,
Frime, filles et sexe,
C’est la devise de notre jeunesse ;
A quoi sert ta jeunesse
Si tu ne frimes pas,
Si tu ne flirtes pas,
As-tu fait ta jeunesse
Si tu ne t’amuses pas,
Si tu ne sexes pas,
A quoi sert ta jeunesse
Si tu te prives de tout ça ?
Frime, filles et sexe
C’est notre vie de jeunesse,
Frime, filles et sexe
L’image de notre jeunesse.
FRIME, FILLES ET SEXE.
A quoi sert ta jeunesse
Si tu ne frimes pas,
Si tu ne flirtes pas,
A quoi sert ta jeunesse
Si tu ne t’amuses pas,
Si tu ne sexes pas
A quoi sert ta jeunesse
Dis –nous mon gars
Si tu te refuses tout cela
Seras-tu des nôtres mon gars ?
Frime, filles et sexe
C’est toute notre jeunesse,
Frime,filles et sexe
On profite de notre jeunesse.
Avec ma coupe très in,
Mon blouson, mon blue-jean,
Ma belle Chevrolet rétro,
Si je n’ai pas de rencard, un texto
Sur le boulevard de l’amour
On fait un tour, deux tours
Pour repérer une belle d’amour
Pour parler de tout et d’amour.
Frime, filles et sexe
C’est toute notre jeunesse,
Frime, filles et sexe
Oui, on vit notre jeunesse.
A quoi sert notre jeunesse
Si on ne frime pas,
Si on ne flirte pas
Même ceux de la vieillesse
Ils sexent croyez-moi
Et n’en s’en privent pas
Alors a quoi sert notre jeunesse
Si on ne sexe pas ?
FRIME, FILLES ET SEXE.
Pas besoin d’argent en poche,
Pour un tendre câlin
Les filles belles ou moches
Sont prêtes à faire le plein
Quoi de plus naturel
Non, les plus belles
Ne sont pas toujours les plus sensuelles,
Quoi de plus naturel
Non, les plus belles
Ne sont pas toujours les plus charnelles.
Frime, filles et sexe
C’est notre vie de jeunesse,
Frime, filles et sexe
Il faut vivre sa jeunesse.
Si on ne frime pas,
Si on ne flirte pas,
Si on ne s’amuse pas,
Si on ne sexe pas
A quoi sert notre jeunesse
Quand autour de nous on voit
Tant de vieux qui adorent le sexe
Alors on se dit nous pourquoi pas ?
Frime, filles et sexe
C’est notre vie de jeunesse,
Frime, filles et sexe
On vit notre jeunesse.
Cher Candidat,
Frime, filles et sexe disent la jeunesse
Mais l’alcool et la drogue et les
Cigarettes en sourdine, comment régler
Ce problème de la jeunesse ?
Quelle peau de colle,comment
S’en débarrasser, oui,
LE PARASITE.
Toute bonté a ses faiblesses
Exploiter toutes mes largesses
Et m’appeler mon ami
Oui, mon œil, j’en ris.
Ton amitié c’est quoi ?
Toujours chez moi
Non, jamais chez toi ,
A quoi ça rime tout ça ?
Les mains vides jamais d’argent
Avec tout ce que tu me prends
Tu t’en tires bien tout le temps
Mais cela durera t-il longtemps ?
Et si je n’existais pas
Tu ferais quoi, dis le moi.
Tu serais plus souvent chez toi
Ou à la recherche d’un autre toit
Jamais chez moi
Ca te va comme ça.
Dis-moi chez toi
Fait-il trop froid,
Et chez moi ton vrai coco
Assez ou même trop chaud
Toujours chez moi
Jamais chez toi
Ta maison est-elle possédée
Ou habitée par des esprits frappeurs
Oui, ces mauvais génies destructeurs
Toujours très difficiles à contrôler ?
LE PARASITE.
Pour toi la vie est trop belle :
Toujours fourchette chez gamelle
Jamais gamelle chez fourchette
Oui, si j’avais de la galette
J’aurais déjà payé mes dettes
Et gratter moins souvent ma tête.
Pour toi tout est facile
A la campagne ou à la ville
Toujours fil chez aiguille
Jamais aiguille chez fil
Si chez-moi c’est chez toi,
Chez toi ce n’est pas chez moi
D’ailleurs je ne sais pas
Où t’habites, toi et si toi
Tu as un toit, un chez toi
Oui, où je ne sais quoi.
En tous les cas ce que je vois
Toujours chez moi, jamais chez toi
Et si jamais t’as un autre toit
Que chez moi c’est où ça.
Toujours chez-moi
Jamais chez toi
Ton amitié c’est quoi
Ca rime a quoi ?
Est –ce boire ma gnole,
Vider ma p’tite fiole,
Piquer ma gamelle ,
Vider mes bouteilles,
Emprunter ma bagnole
Et vouloir mes grolles,
Toi un vrai pot de colle
Et pauvre quidam
Pourquoi pas ma femme ?
LE PARASITE.
Culot toi pique assiette
Partout dans l’Hexagone
Tout ce qu’on te donne
Non ce n’est pas des miettes
Mais ce n’est jamais à ton goût
Mais tu veux dans ta musette
Toujours emporter un bout,
Vraiment tu te fous de nous.
Parasite, parasite,
Bouffe tout
Mange tout
Parasite, parasite
C’est ouf
Ca me bouffe
Parasite, parasite
Ca me gonfle
Et toi parasite, parasite
Tu me gonfles,
Jamais chez toi
Toujours chez moi
Chez toi les huissiers
Ont-ils tout ramassé,
Te reste t’il plus de mobilier
Ou ta maison a-t-elle brûlée ?
Ou bien est ce pour m’emmerder,
Que tu es chez moi toute la journée ?
Toujours chez moi
Jamais chez toi
Où est ton chez toi,
Moi je ne connais pas.
La tempête des profiteurs
A-t-elle balayée ton toit ;
La foudre de l’horreur
Détruit ton chez toi
LE PARASITE .
Ou ta maison est elle habitée
Par des revenants frappeurs ,
Des fantômes ou hantée
Par des génies de malheur ?
Toujours les puces
Chez les chiens
Jamais les chiens
Chez les puces.
Parasite, parasite
C’est grâce à moi tu existes,
Parasite, parasite
Si chez moi c’est chez toi parasite
Je signe et insiste
Déchire ma carte de visite
Mais crois – moi je resterai chez moi
Car pour moi encore j’insiste
Non, vraiment parasite,
Chez moi ce n’est pas chez toi.
Parasite, parasite
Toujours le râtelier
Chez la bouche
Jamais la bouche
Chez le râtelier.
Parasite, parasite
Tu m’empoisonnes la vie
Parasite, parasite
Trouve un autre logis
Parasite, parasite
Je ne suis pas ton ami.
Non, parasite, parasite
Car tu parasites ma vie.
Parasite, parasite.
LE PARASITE.
Toujours les poux
Dans les cheveux,
Jamais les cheveux
Chez les poux
Parasite, parasite.
Toujours les morpions
Chez l’homme
Jamais l’homme
Chez les morpions
Parasite, parasite.
Parasite, parasite
C’est grâce aux autres
Que vraiment tu existes
Sans jamais te gêner
T’es l’hôte chez les autres
Parasite, parasite
Même si c’est commun
Tu fumes, fumes
Toujours en commun
Nos blondes, nos brunes
Parasite sans gêne,
Sans gêne dans l’âme
Importun quidam
Oui, si ça te gêne
De rester de temps en temps un peu à jeun
Même pendant le carême
Chez moi ce n’est pas le marché commun
Faut que tu comprennes
Ma femme, oui, ma femme
Mon amour suprême
Non, non, non quidam,
Celle que mon cœur aime,
C’est pour un,
A savoir ma poire,
Et ce sera toujours pour un
Je te le dis ce soir
LE PARASITE.
Non, non ma femme
Ce n’est pas pour ta pomme
Je te le dis homme à homme,
Non, non, non quidam
Ni pour toi, ni non plus pour aucun
Non, non, non quidam
Oui, ma femme c’est ma femme,
On ne veut aucun marché commun
Je te le dis quidam
D’homme à homme
Non, ma femme
Ce n’est pas comme,
Tous en commun,
Comme mon rhum
Qu’on boit en commun.
Toujours chez moi
Non, jamais chez toi
Ton amitié c’est quoi :
Bien m’exploiter, moi ?
Non, tu ne dors pas
A la belle étoile,
Tu veux me foutre moi
Bien plus qu’à poil
En me dépouillant vraiment
Vraiment jusqu’à l’os.
Si mes chers gosses
Ont assez pour se mettre
Sous leurs petites dents
Tu te crois malin peut être
Abuser d’un couillon
C’est quoi un tel comportement
Et dis ça va durer longtemps ?
C’est sûr bien sûr que non.
LE PARASITE.
Parasite, parasite
Toujours bernard-l’ermite
Dans la coquille,
Jamais la coquille
Chez bernard-l’hermite,
Parasite, parasite.
T’as rien d’autre
A faire mon cher
Que d’être chez les autres
T’es pire mon cher
Que les colles roche
De nos rivières
Car là où ça cloche
Tu es toujours collé
Chez nous sans te gêner
Et tu crois qu’on est obligé.