Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
Publicité
Catégories
17 avril 2012

LES HYPOCRITES.

 

    Tous ceux là personne ne les aiment

Non plus :

 

        LES HYPOCRITES.

 

Il y en a qui sont gonflés

Ils critiquent toujours les autres dans la vie

Et pointent du doigt avec des mains souillées

En prêchant que des absurdités comme homélie

 

Ils ne savent faire une prière pour eux

Mais veulent chez autrui célébrer

A des brebis très éclairées et pieux

La grande messe avec un sermon d’insanités

Tout cela c’est ridicule et bien honteux.

 

Ha ces faux  et sournois oiseaux de malheur

Il est temps qu’ils comprennent vite

Qu’on a marre du corbeau qui critique la noirceur

Et qu’on n’aime pas les hypocrites

 

Car on trouve l’âne un peu trop ridicule

Qui surnomme bêtement la mule

« Grandes oreilles et reine des têtues »

Turlututu bien entendu qui l’eu cru

 

Hypocrite , hypocrite

Connais-toi toi-même

Hypocrite , hypocrite

Retourne tes yeux sur toi-même

 

Hypocrite, hypocrite

Lave déjà ton cœur

Hypocrite , hypocrite

Décrasse d’abord ton cœur

 

Hypocrite , hypocrite

Lave tes mains souillées

Hypocrite , hypocrite

Et fous-nous la paix .

 

Et ces hypocrites ils sont tous  fiers

C’est comme dans la cuisine qui brille

L’écumoire , la passoire et le gruyère

Qui disent à la petite aiguille

 

 

 

 

 

  LES HYPOCRITES.

 

Qu’elle a un trou

De qui se moque t’on

C’est un peu fou

Pour ces bandes de couillons

 

Qui ont les yeux pleins de boue

Les corbeaux qui ont peur de la noirceur

Qu’ils nous fichent la paix dès maintenant

Tous ces dégueux oiseaux de malheur !

 

Hypocrite , hypocrite

Connais-toi toi-même

Hypocrite , hypocrite

Résous déjà tes problèmes

 

Hypocrite, hypocrite

Garde ta sagesse pour toi

Hypocrite, hypocrite,

Trop sage pour les autres

Hypocrite , hypocrite

Retourne tes yeux vers toi,

Tu n’es pas des nôtres

 

Hypocrite , hypocrite

Pour voir comment tu es toi-même

Hypocrite , hypocrite

Non , tu ne seras pas notre apôtre .

 

Corrompu de corps et de cœur

Non , tu ne seras des nôtres

Et va te faire voir ailleurs,

On n’a pas besoin d’apôtre

 

Bossu qui ne voit sa bosse

Et voit celle de son confrère

C’est pire qu’un méchant gosse

Qui méprise son propre frère

 

C’est toujours comme ça

Mais ce n’est pas marrant

Ce monde là ne changera pas

Et  pour nous c’est très embêtant

Le cochon dégueu et crasseux

Qui dans ses injures copieusement

Traite autrui de sale  pouilleux  .

 

 

 

 LES HYPOCRITES.

 

      Cher Candidat,

 

   Nous n’oserons pas vous demander si

Vous êtes hypocrite,mais tout ce que vous

Nous proposez dans votre programme et

Dans vos engagements pour la nation  et

Le peuple,tout cela est –il vraiment sincère

Et qu’est ce qui vous départage des autres

Candidats ?

 

 

Quelle peau de colle, comment

S’en débarrasser, oui,

 

        LE PARASITE. 

 

Toute bonté a ses faiblesses

Exploiter toutes mes largesses

Et m’appeler mon ami

Oui, mon œil, j’en ris.

 

Ton amitié c’est quoi ?

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi,

A quoi ça rime tout ça ?

 

Les mains vides jamais d’argent

Avec tout ce que tu me prends

Tu t’en tires bien tout le temps

Mais cela durera t-il longtemps ?              

 

Et si je n’existais  pas

Tu ferais quoi, dis le moi.

Tu serais plus souvent chez toi

Ou à la recherche d’un autre toit

Jamais chez moi

Ca te va comme ça.

 

Dis-moi chez toi

Fait-il trop froid,

Et chez moi ton vrai coco

Assez  ou même trop chaud

 

 

 

 

 

 

    LE PARASITE.

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Ta maison est-elle possédée

Ou habitée par des esprits frappeurs

Oui, ces mauvais génies destructeurs

Toujours très difficiles à contrôler ?

 

Pour toi la vie est trop belle :

Toujours fourchette chez gamelle

Jamais gamelle chez fourchette

Oui, si j’avais de la galette

J’aurais déjà payé mes dettes

Et gratter moins souvent ma tête.

 

Pour toi  tout est facile

A la campagne ou à la ville

Toujours fil chez aiguille

Jamais aiguille chez fil

 

Si chez-moi c’est chez toi,

Chez toi ce n’est pas chez moi

D’ailleurs je ne sais pas

Où t’habites, toi et si toi

Tu as un toit, un chez toi

Oui, où je ne sais quoi.

 

En tous les cas ce que je vois

Toujours chez moi, jamais chez toi

Et si jamais t’as un autre toit

Que chez moi c’est où ça.

 

Toujours chez-moi

Jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi

Ca rime a quoi ?

 

Est –ce boire ma gnole,

Vider ma p’tite fiole,

Piquer ma gamelle,

Vider mes bouteilles,

 

Emprunter ma bagnole

Et vouloir mes grolles,

Toi  un vrai pot de colle

Et pauvre quidam

Pourquoi pas ma femme ?

 

 

  LE PARASITE.

 

Culot  toi pique assiette

Partout dans l’Hexagone

Tout ce qu’on te donne

Non ce n’est pas des miettes

 

Mais ce n’est jamais à ton goût

Mais tu veux dans ta musette

Toujours emporter un bout,

Vraiment tu te fous de nous.

 

Parasite, parasite,

Bouffe tout

Mange tout

Parasite,  parasite

 

C’est ouf

Ca me bouffe

Parasite, parasite

Ca me gonfle

Et toi parasite, parasite

Tu me gonfles,

 

Jamais chez toi

Toujours chez moi

Chez toi les huissiers

Ont-ils tout ramassé,

 

Te reste t’il plus de mobilier

Ou ta maison a-t-elle brûlée ?

Ou bien est ce pour m’emmerder,

Que tu es chez moi toute la journée ?

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Où est ton chez toi,

Moi je ne connais pas.

 

La tempête des profiteurs

A-t-elle balayée ton toit ;

La foudre de l’horreur

Détruit ton chez toi

 

Ou ta maison est elle habitée

Par des revenants frappeurs,

Des fantômes ou hantée

Par des génies de malheur ?

 

 

  LE PARASITE.

 

Toujours les puces

Chez les chiens

Jamais les chiens

Chez les puces.

 

Parasite, parasite

C’est grâce à moi tu existes,

Parasite, parasite

Si chez moi c’est chez toi parasite

 

Je signe et insiste

Déchire ma carte de visite

Mais crois – moi je resterai chez moi

Car pour moi encore j’insiste

Non, vraiment parasite,

Chez moi ce n’est pas chez toi.

 

  Parasite, parasite

Toujours le râtelier

Chez la bouche

Jamais la bouche

 

 Chez le râtelier.

Parasite, parasite

Tu m’empoisonnes la vie

Parasite, parasite

Trouve un autre logis

 

Parasite, parasite

Je ne suis pas ton ami.

Non, parasite, parasite

Car tu parasites ma vie.

 

Parasite, parasite.

 

Toujours les poux

Dans les cheveux,

Jamais les cheveux

Chez les poux

 

Parasite, parasite.

Toujours les morpions

Chez l’homme

Jamais l’homme

Chez les morpions

Parasite, parasite.

 

 

  LE PARASITE.

 

Parasite, parasite

C’est grâce aux autres

Que vraiment tu existes

Sans jamais te gêner

T’es l’hôte chez les autres

 

Parasite, parasite

Même si c’est commun

Tu fumes, fumes 

Toujours en commun

Nos blondes, nos brunes

 

  Parasite sans gêne,

Sans gêne dans l’âme 

Importun quidam

Oui,  si ça te gêne

 

De rester de temps en temps un peu à jeun

Même pendant le carême

Chez moi ce n’est pas le marché commun

Faut que tu comprennes

 

Ma femme, oui, ma femme

Mon amour suprême

Non, non, non quidam,

Celle que mon cœur aime,

 

C’est pour un,

A savoir ma poire,  

 Et ce sera toujours pour un

   Je te le dis ce soir

 

Non, non ma femme

Ce n’est pas pour ta pomme

Je te le dis homme à homme,

Non, non, non quidam

 

Ni pour toi, ni non plus pour  aucun

Non, non, non quidam

Oui, ma femme c’est ma femme,

On ne veut aucun marché commun

 

 

 

 

 

 

  LE PARASITE.

 

Je te le dis quidam

D’homme à homme

Non, ma femme

Ce n’est pas comme,

Tous en commun,

Comme mon rhum

Qu’on boit en commun.

         

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi :

Bien m’exploiter, moi ?

 

Non, tu ne dors pas

A la belle étoile,

Tu veux me foutre moi

Bien plus qu’à poil

 

En me dépouillant vraiment

Vraiment jusqu’à l’os.

Si mes chers gosses

Ont assez pour se mettre

Sous leurs petites dents

 Tu te crois malin peut être

 

Abuser d’un couillon

C’est quoi un tel comportement

Et dis ça va durer longtemps ?

C’est sûr bien sûr que non.

 

Parasite, parasite

Toujours bernard-l’ermite 

Dans la coquille,

Jamais la coquille

Chez bernard-l’hermite,

Parasite, parasite.

 

T’as rien d’autre

A faire mon cher

Que d’être chez les autres

T’es pire mon cher

 

Que les colles roche

De nos rivières

Car là où ça cloche

Tu es toujours collé

Chez nous sans te gêner

Et tu crois qu’on est obligé.

 

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité