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Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
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17 avril 2012

JALOUX.

 

Ils nous pourrissent la vie et personne

Ne les aiment vraiment les :

 

      JALOUX.

 

Salaud  partout où tu ers passé

Tu m’as mis des bâtons dans les roues

Parce que à part ta méchanceté

Tu es un phénomène extrêmement jaloux.

 

A quoi bon mentir

Pour gâcher mon avenir

Mais galopin  je te préviens

Gare,  gare aux miens.

 

Tu ressembles au caillou

Que tu lances au coucou

Sans te soucier des fleurs d’oranger

Que tu fais tomber dans le verger.

 

Tu jalouses tout le temps

Pour un oui, pour un non

Tant que ce n’est pas mes enfants

Tu pourras aboyer encore longtemps.

 

Comme un diabolique sans cœur

Tu as compromis mon bonheur 

Pour donner du poids à ta méchanceté

Tu m’as  coupé l’herbe sous les pieds

 

Mais si tu ne me vois jamais pleurer

C’est parce que je sais ô homme d’iniquité

Que le méchant sera  oui,  un jour  châtié

Et ce jour là je vais bien me régaler.

 

Galopin, propre à rien

Tu es comme le gourdin

Que tu lances sur le tamarin

Sans te soucier sacré vaurien

Des fleurs de fruit à pain

Que tu fais tomber dans le ravin.

 

Toi bougre de mauvais vivant

Partout, partout où tu es passé

Par jalousie bien évidemment

Tu as toujours essayé de me gêner.

   

 

 

 

    JALOUX.

 

Je te dirai tant que c’est moi

C’est vrai oui, encore ça va

Mais si tu touches aux miens 

Tu te souviendras de moi demain.

 

Tu es comme le pyralène

Que tu jettes tout bêtement

Dans la rivière sans gène

Sans te soucier oh non

 

De tout l’empoisonnement

Des crustacés et poissons

 De tout l’environnement.

De ton propre département.

 

Comme un envieux vagabond

Tu as su me couper les ponts

Mais l’invisible sûrement

Protège tous les innocents

 

Je m’en sors tout doucement

Pauvre et maudit  vaurien  

Tu te demandes toujours comment

Même si je ne te dis rien

 

Si tu veux voir demain

Prends garde aux miens,

Gare à toi petit galopin

Je te ferai boire ton venin.

 

Faut que je me méfie

Toujours, toujours de toi

De toutes tes vilenies

Et de tes mauvais coups bas

 

Car tu es comme le pyralène

Qu’on jette tout bêtement

A la rivière sans gène

Sans se soucier oh non

 

De l’empoisonnement

De tout l’environnement

 Des crustacés et des poissons 

Qui donneront des malformations

 

 

 

 

   JALOUX.

 

A de nombreux enfants

A naître dans le département,

Les  infirmes dans la nation,

C’en est déjà trop vraiment.

 

Délateur, tu as que du bagou

Pour me traîner dans la boue

Pour toi si c’est un jeu d’enfant

Je te préviens galopin de sacripant

 

Si tu touches aux miens

Je te ferai boire ton venin

Sans jamais te donner l’antidote

Car non jamais tu ne seras mon pote.

 

     Cher Candidat,

 

Cela ne vous embête pas que certains ont

Pu trouver avant vous quelques bonnes

Idées toutes simples et pratiques qui met

Tout le monde d’accord,ou des lois qui

Font très bien leur chemin ?

 

 

 

Quelle peau de colle, comment

S’en débarrasser, oui,

 

       LE PARASITE. 

 

Toute bonté a ses faiblesses

Exploiter toutes mes largesses

Et m’appeler mon ami

Oui, mon œil, j’en ris.

 

Ton amitié c’est quoi ?

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi,

A quoi ça rime tout ça ?

 

Les mains vides jamais d’argent

Avec tout ce que tu me prends

Tu t’en tires bien tout le temps

Mais cela durera t-il longtemps ?              

 

 

 

 

  LE PARASITE.

 

Et si je n’existais  pas

Tu ferais quoi, dis le moi.

Tu serais plus souvent chez toi

Ou à la recherche d’un autre toit

Jamais chez moi

Ca te va comme ça.

 

Dis-moi chez toi

Fait-il trop froid,

Et chez moi ton vrai coco

Assez  ou même trop chaud

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Ta maison est-elle possédée

Ou habitée par des esprits frappeurs

Oui, ces mauvais génies destructeurs

Toujours très difficiles à contrôler ?

 

Pour toi la vie est trop belle :

Toujours fourchette chez gamelle

Jamais gamelle chez fourchette

Oui, si j’avais de la galette

J’aurais déjà payé mes dettes

Et gratter moins souvent ma tête.

 

Pour toi  tout est facile

A la campagne ou à la ville

Toujours fil chez aiguille

Jamais aiguille chez fil

 

Si chez-moi c’est chez toi,

Chez toi ce n’est pas chez moi

D’ailleurs je ne sais pas

Où t’habites, toi et si toi

Tu as un toit, un chez toi

Oui, où je ne sais quoi.

 

En tous les cas ce que je vois

Toujours chez moi, jamais chez toi

Et si jamais t’as un autre toit

Que chez moi c’est où ça.

 

Toujours chez-moi

Jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi

Ca rime a quoi ?

 

  LE PARASITE.

 

Est –ce boire ma gnole,

Vider ma p’tite fiole,

Piquer ma gamelle,

Vider mes bouteilles,

 

Emprunter ma bagnole

Et vouloir mes grolles,

Toi  un vrai pot de colle

Et pauvre quidam

Pourquoi pas ma femme ?

 

Culot  toi pique assiette

Partout dans l’Hexagone

Tout ce qu’on te donne

Non ce n’est pas des miettes

 

Mais ce n’est jamais à ton goût

Mais tu veux dans ta musette

Toujours emporter un bout,

Vraiment tu te fous de nous.

 

Parasite, parasite,

Bouffe tout

Mange tout

Parasite,  parasite

 

C’est ouf

Ca me bouffe

Parasite, parasite

Ca me gonfle

Et toi parasite, parasite

Tu me gonfles,

 

Jamais chez toi

Toujours chez moi

Chez toi les huissiers

Ont-ils tout ramassé,

 

Te reste t’il plus de mobilier

Ou ta maison a-t-elle brûlée ?

Ou bien est ce pour m’emmerder,

Que tu es chez moi toute la journée ?

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Où est ton chez toi,

Moi je ne connais pas.

 

  LE PARASITE.

 

La tempête des profiteurs

A-t-elle balayée ton toit ;

La foudre de l’horreur

Détruit ton chez toi

 

Ou ta maison est elle habitée

Par des revenants frappeurs,

Des fantômes ou hantée

Par des génies de malheur ?

 

Toujours les puces

Chez les chiens

Jamais les chiens

Chez les puces.

 

Parasite, parasite

C’est grâce à moi tu existes,

Parasite, parasite

Si chez moi c’est chez toi parasite

 

Je signe et insiste

Déchire ma carte de visite

Mais crois – moi je resterai chez moi

Car pour moi encore j’insiste

Non, vraiment parasite,

Chez moi ce n’est pas chez toi.

 

Parasite, parasite

Toujours le râtelier

Chez la bouche

Jamais la bouche

 

 Chez le râtelier.

Parasite, parasite

Tu m’empoisonnes la vie

Parasite, parasite

Trouve un autre logis

 

Parasite, parasite

Je ne suis pas ton ami.

Non, parasite, parasite

Car tu parasites ma vie.

 

Parasite, parasite.

 

 

 

 

 LE PARASITE.

 

Toujours les poux

Dans les cheveux,

Jamais les cheveux

Chez les poux

 

Parasite, parasite.

Toujours les morpions

Chez l’homme

Jamais l’homme

Chez les morpions

Parasite, parasite.

 

Parasite, parasite

C’est grâce aux autres

Que vraiment tu existes

Sans jamais te gêner

T’es l’hôte chez les autres

 

Parasite, parasite

Même si c’est commun

Tu fumes, fumes 

Toujours en commun

Nos blondes, nos brunes

 

Parasite sans gêne,

Sans gêne dans l’âme 

Importun quidam

Oui,  si ça te gêne

 

De rester de temps en temps un peu à jeun

Même pendant le carême

Chez moi ce n’est pas le marché commun

Faut que tu comprennes

 

Ma femme, oui, ma femme

Mon amour suprême

Non, non, non quidam,

Celle que mon cœur aime,

 

C’est pour un,

A savoir ma poire,  

 Et ce sera toujours pour un

   Je te le dis ce soir

 

 

 

 

 

  LE PARASITE.

 

Non, non ma femme

Ce n’est pas pour ta pomme

Je te le dis homme à homme,

Non, non, non quidam

 

Ni pour toi, ni non plus pour  aucun

Non, non, non quidam

Oui, ma femme c’est ma femme,

On ne veut aucun marché commun

 

Je te le dis quidam

D’homme à homme

Non, ma femme

Ce n’est pas comme,

Tous en commun,

Comme mon rhum

Qu’on boit en commun.

         

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi :

Bien m’exploiter, moi ?

 

Non, tu ne dors pas

A la belle étoile,

Tu veux me foutre moi

Bien plus qu’à poil

 

En me dépouillant vraiment

Vraiment jusqu’à l’os.

Si mes chers gosses

Ont assez pour se mettre

Sous leurs petites dents

 Tu te crois malin peut être

 

Abuser d’un couillon

C’est quoi un tel comportement

Et dis ça va durer longtemps ?

C’est sûr bien sûr que non.

 

Parasite, parasite

Toujours bernard-l’ermite 

Dans la coquille,

Jamais la coquille

Chez bernard-l’hermite,

Parasite, parasite.

 

 

  LE PARASITE.

 

T’as rien d’autre

A faire mon cher

Que d’être chez les autres

T’es pire mon cher

 

Que les colles roche

De nos rivières

Car là où ça cloche

Tu es toujours collé

Chez nous sans te gêner

Et tu crois qu’on est obligé.

 

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