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Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
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17 avril 2012

VIENS CHEZ MOI.

 

    A nos enfants bien aimés leur

Dira t’on assez de ne jamais suive

L’étranger qui leur dit :

 

    VIENS CHEZ MOI.

 

Quel temps de chien

Je ne te sens pas bien

Tu tremblotes

Pauvre cocotte

 

T’as trop, trop froid

Vite  viens chez –moi

Pour te réchauffer

Coucou c’est moi Honoré

Le grand roi de l’hospitalité

 

Viens chez moi

Viens te réchauffer,

Viens chez moi

Viens t’abriter

 

Viens chez moi

C’est moi Honoré

Le roi de l’hospitalité.

C’est de bon cœur, tu sais.

 

Ou t’habites,

Ou t’habites ?

 

« Devine, devine »

 

Rue  Lépine ?

 

« Tu brûles, non, non,

C’était il y a bien longtemps

 

Où t’habites,

Où t’habites

A Maisons Laffitte

Réponds vite

 

«  Tu brûles, non, non

A Pavillons Sous Bois

Bien évidemment

Tu me comprends

Viens avec moi.

 

 

 

  VIENS CHEZ MOI.

 

Viens chez moi,

Viens te réchauffer

Viens chez moi,

Viens t’abriter,

 

Viens chez moi

Chez moi c’est chaud,

Vite, décide toi,

Viens, dehors il ne fais pas beau.

 

 

Le froid est sec

T’as la tremblote,

J’ai du bois sec,

Pauvre cocotte

On fera avec.

 

Tu cries ouille, ouille

La neige te mouille 

Tu cries ouille, ouille,

Les gens se grouillent

 

Et tu grelottes

Pauvre cocotte

T’as l’onglée

Moi le doigté

 

La neige te mouille

J’ai du bois couille

Et du cœur de chauffe

Ouille, ouille, ouille

Ca chauffe, ça chauffe.

 

Viens chez moi

Viens te réchauffer

Viens chez moi,

Viens t’abriter,

 

Viens chez moi ,

Dépêches toi,

Tu as trop froid,

Ne reste pas là.

 

 

 

             

 

 

 VIENS CHEZ MOI.

 

Où t’habites,

Où t’habites

 

Devine, devine

 

Rue de Lépine ? 

 

Non, ma joline

 

Où t’habites,

Réponds vite?

 

 

22, rue D’Aumale

A Pavillons Sous Bois

Normal, normal, vital.

Et surtout crois moi.

 

Viens chez moi,

Viens t’abriter

Qu’attends –tu, toi,

Dehors tu veux crever ?

 

T’as la tremblote,

T’es transie de froid

Et tu grelottes,

Pauvre cocotte,

 

Viens chez moi

Ouille, mouille, mouille

Regarde moi ça,

La neige te mouille

 

J’ne suis pas un arsouille,

Viens chez moi

J’ai du bois couille,

Non, tu n’y penses pas ?

 

Un bon duvet

Plein l’estomac

Dis,  tu le sais,

Mieux qu’un sac,

 

 

 

 

 

 

 VIENS CHEZ MOI.

 

J’ai du bois flambeau

Pour te réchauffer

Et un lit bateau

Bien douillet,

 

Tu vas apprécier,

Il ne fait pas beau,

Vas – tu te décider ?

Alors dis un mot.

 

Viens chez moi

Viens t’abriter 

Viens chez moi,

Viens te réchauffer,

 

Il fait trop froid,

Viens chez moi,

tu veux mourir là,

Mais dis – pourquoi,

 

Oui, t’habite,

La rue Lépine

A Maison Laffitte,

Sûr, je devine

 

Où t’habites,

Où t’habites ?

 

A Pavillons Sous Bois ;

Bien évidemment,

Ne perds pas de temps, toi,

Comme tu me comprends.

 

 

Tu es vraiment têtue,

Vite, viens chez –moi,

Des  violeurs dans les rues,

Tu n’en as pas peur, toi ?

 

Viens t’abriter,

Je t’épargnerai tout cela,

Viens te réchauffer,

Tu me remercieras.

 

 

 

 

 

  VIENS CHEZ MOI.

           

   Cher Candidat,

 

    Ne croyez-vous pas qu’on devrait

Castre même chimiquement tous les

Grands récidivistes pédophiles car

Ils vous diront tout le temps qu’ils

Ont eu encore des pulsions ?

 

 

 

 

   

 

 

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