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Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
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28 mars 2012

COMME D’HAB.

       On peut largement féliciter et louanger nos

Bons policiers et la B.R.I. qui finissent assez

Souvent d’arrêter tous les malfaiteurs et dirons-

Nous selon la formule très simple :

 

            COMME D’HAB.

 

Ils ont fait ça entre potes,

Ils accusent le gouvernement

A qui ils portent la faute,

C’est toujours la même chanson

Comme d’hab.

Et ils ont raison

Comme d’hab.

Et c’est nous les couillons

Comme d’hab.

Puisqu’ils ont le pognon

Comme d’hab. 

 

Ce ne sont pas des enfants de chœur

Comme d’hab.

Ils donneront du travail à la B.R.I.

Comme d’hab.

Pour arrêter au plus vite ces malfaiteurs

Comme d’hab.

Qui auront du mal à dépenser leur grisbi.

Comme d’hab.

 

Encore une fois

Tous on a été très impuissants

Face à tous ces scélérats

Mais on les arrêtera ces brigands

Comme d’hab.

Et quand ils vont casser leur tirelire

La police va finalement les coincer

Comme d’hab.

 

 

Ce sera un mauvais souvenir

Mais tous on sera très soulagés

Comme d’hab.

 

 

 

 

 

 

 

   COM. D’ HAB .

 

On finira par les avoir

Comme d’hab.

Des années de cavale,

Mais un triste jour noir

Dans un contrôle banal

On fini par les avoir

Comme d’hab.

 

Ils ne veulent pas travailler

Non, pour eux c’est trop fatiguant

Alors ils réfléchissent pour trouver

Un moyen d’avoir beaucoup d’argent

 

Attaque de dab.

Comme d’hab. ?

Démolition de dab.

Comme d’hab. ?

Attaques à répétitions,

Grand besoin d’argent,

Beaucoup de pognon

Pour se payer des bonbons

Comme d’hab.

Ils font ça tout naturellement

Comme d’hab.

Comme si c’était leur pognon

Comme d’hab.

 

Ils tuent le temps

A tourner en rond,

A se poser la question

Et étudier un bon plan.

Trouver une solution

Même si ce n’est pas intelligent

Ils s’en foutent de tous les gens

Surtout vous ne faites pas le couillon,

Pas de résistance ni d’opposition

Il faut agir à la résignation,

Si vous perdez votre pognon

Vous seriez peut-être bien vivant.

 

Lui le toxico en manque

Et qui n’a pas du tout du fric,

Le junkie vite il vous flanque

La frousse ave sa trique

Pour se payer sa mescaline

 

 

 

  COM. D’ HAB .

 

Gare à vous il s’en fout,

Son lysergide, sa psilocybine

C’est ça qui lui rend fou.

Et comme dab.

Il est prêt à tout

Surtout pas de panique

Sinon comme d’hab.

Selon leur langage il te nique

Il cassera tout et tout

Pour avoir du fric

Car pour sa dose il fera tout

Et n’a rien à foutre des flics

Comme d’hab.

Et dès qu’il réussit son coup

Et qu’il peut payer sa dose

Comme d’hab.

Il mettra ses pieds à son cou

S’il ne vous fait pas grand-chose

C’est tant mieux pour vous

Mais ce n’est pas sûr comme d’hab.

 

En pleine matinée

Avec leur voiture bélier,

Sans se paniquer

Ils ne vont pas hésiter

Pour tout casser et emporter,

Le magot, les gros billets,

Ils sont armés prêts à tuer

Malheur qui veut s’y interposer !

Tranquillement vous qui passez

Allez-vous les confronter,

Jusqu’aux dents ils sont armés.

 

Ils ont réussi leur coup

Comme dab.

Ils ont pris presque tout

Comme d’hab.

Beaucoup d’argent et de bijoux

Comme d’hab.

Et bien planqués ils se moquent de nous.

Comme d’hab.

 

 

 

 

 

 

 

   COM. D’ HAB.

 

Ils courent toujours

Comme d’hab.

Par quels moyens, quels détours

Comme d’hab.

On s’interroge toujours

Comme d’hab.

Comment ont-ils pu en plein jour ?

 

Comme d’hab.

 

Avec les malfaiteurs

On n’est jamais tranquille

Comme d’hab.

Ils nous font tous peur

Avec tous leurs projectiles

Comme d’hab.

La société est vraiment fêlée

Personne ne veut aller travailler

Comme d’hab.

Mais aller casser, voler

Quitte même à nous tuer

Comme d’hab.

On n’a pas fini de supporter,

De crier, de pleurer, de chialer

Mais la police va tous les mater

Et on sera tous très soulager

Comme d’hab.

 

Mais le combat n’est pas fini

Car dans la ruche il y a des bandits

Qui préparent des plans très précis

Pour un grand week-end de folies.

 

On aura encore des grandes frayeurs

Le sang glacé, les jambes qui flageolent

Alors on augmentera la peine des malfaiteurs

Et on les laissera pourrir à réfléchie à la geôle.

 

Ayons confiance en notre police,

On va tous un jour les avoir

Malgré leur planque et leurs complices

On coffrera tous ces loubards

Comme d’hab.

Oui, on les aura

Comme d’hab.

On les arrêtera

On les démolira

 

  COM. D ‘ HAB.

 

Comme d’hab.

On ne désespère pas

Comme d’hab.

On les vaincra

Comme d’hab.

On gagnera

Comme d’hab.

On les démantèlera

Comme d’hab.

On les emprisonnera

 

Comme d’hab.

 

On les jugera

Comme d’hab.

 

      Cher Candidat,

 

Il n’y a pas que le grand banditisme qui

Fait recette en France .On n’hésite pas

A agresser en pleine rue en plein jour nos

Mamies qui parfois tombent, se blessent et

Décèdent .Même si les gens n’ont pas de

Travail ce n’est pas très gentil d’attaquer

Qui que ce soit chez lui ou dans la rue et surtout

Des innocents. La loi n’est –elle pas assez dure,

Que doit-on faire pour sévir ces genres de choses ?

 

 

             Il y très longtemps que notre pays la France

Est sous perfusion intensive .La France est plongée

Dans un coma social profond pour que ça aille mieux

Il lui faudra une bonne et vraie :

            

              RESURRECTION.

 

Y a-t-il un candidat

Dans cette belle discipline :

Réanimateur de coma,

Prix Nobel de médecine

Alors vite ouvrez vos officines

Dans nos 22 belles régions de France

Il lui faudra plus qu’une dose de morphine

Pour calmer la douleur de sa décadence.

 

Comme un gruyère plein de trous

Et comme un camembert qui pue

En France rien ne va plus du tout

Et pour personne rien ne va plus.

 

Un grand et insupportable tsunami économique

A frappé subitement le pays, pauvre de nous

L’avenir de la France et notre sort sont chaotiques,

Sans travail et sans argent que ferons-nous ?

 

Les laboratoires et la pharmaco vigilance

Sont déjà assez embêtée comme cela

 

Mais il faudra trouver de toute urgence

Un puissant remède pour le sortir de son coma.

 

Oui, la France a besoin

D’un très bon économiste

Et surtout le coup de main

D’un grand trader arriviste

Pour renflouer les caisses de l’Etat,

La France aura besoin d’une résurrection

Car après cinq ans dans le coma

Ce n’est pas une utopie mais une constatation.

 

On ne croit pas au Père Noël

Mais si c’est pour nous consoler

Et donner une parcelle d’étincelle

A notre vie alors laissez nous rêver !

 

   RESURECTION .

 

Les messies ne sont-ils pas capables

D’un grand miracle inexplicable

Pour nous donner une position confortable,

Mêmes les apolitiques diront que c’est formidable !

 

En attendant que toutes les poules

Nous montrent leurs dentiers

Non, ne perdons pas la boule

Avec tous nos soucis familiers.

 

Un coma profond peut durer des années

Espérons qu’en 2012 la France se relèvera

Pour cela les professeurs durs doivent travailler

Saluons leur ténacité et leur grand combat !

 

        Cher Candidat,

 

Tout le monde attend 2012 pour voir sortir la

France de son coma –alors est ce bien l’année

De tous les remèdes pour notre pays ?

Quel sera vos premiers onguents pour redresser

 La France économiquement ?

 

 

 

           Tout le monde ne peut pas être l’ami des un et

Des autres mais il y a toujours quelques uns qui nous

Disent qu’ils sont l’ami de Abbon ou de Tudi mais

Qu’en pensent Vanne, Sinice, Sévère, Rustique, Prudent,

Rainier, Parfait, Otton, Osée, Optat, Nonose, Nonon, Miro,

Modeste, Acace, Allore, Aymar, Eddy, Odilon, Justin et Fidèle :

 

   

       TOI MON AMI ?

 

Tu dis que tu es mon ami

Mais quand la maladie

Me cloue solidement au lit

Tu dis à mes ennemis :

« Qu’il meurt, qu’il crève

 

Et  qu’on en finisse avec lui,

Que sa maladie l’achève

Lui qui embarrasse la vie. »

 

Avoir un ami pourri

Je ne suis pas assez fou

Non, non grand merci

Beaucoup, beaucoup.

 

  La délation c’est ta religion

Et la calomnie ta confrérie

Qui empoisonnent les honnêtes gens

Mais je ne suis pas adhéré à ta fratrie.

 

Si ça t’a toujours réussit méchant

Je te dis fais très attention

Car au sein de tes adhérents

Sais-tu qu’il y a encore plus méchant ?

C’est toi qui le dis,

Secrètement j’en ris

Ouais, toi mon ami.

 

Oui, mon faux ami

Bien sûr que oui,

Plus que ça mon intime, oui,

Ma parole je te le dis.

 

Un ami jaloux

Est-ce cela un ami,

Je n’en veux pas du tout

C’est à toi que je dis !

 

 

 

  TOI MON AMI ?

 

Méchant et ingrat tu crois

Même si je ne te dis rien

Que je ne connais pas tout ça

Dès que tu ne touches pas aux miens

Tant que c’est moi ça va

Quant à mes enfants et ma femme

Vaurien et faux  gare à toi

Sinon je vais t’éteindre comme une flamme.

 

A tous mes grands banquets

Tu étais toujours le premier servi

Mais tu ne manques pas de toupet

Salaud la délation, la calomnie

Rue des ingrats tu me remercies

Mais je ne suis pas trop surpris

Car la menterie c’est ta maladie

Et tu n’es pas prêt d’en être guéri.

 

Si quand je suis là avec toi

Tu as un tel comportement

Aussi méchant avec moi

Pour moi c’est très rassurant.

 

Car dans les demeures de l’au-delà

Quand je serai pensionnaire,

Si j’ai mon funeste  bail avant toi

Ce n’est pas toi méchant frère

Qui me fera une petite prière,

M’offrira une petite lumière,

Pour mon âme  messe qui l’éclaire

Mais moi je m’en fou faux- frère.

 

Si tu cherches un ami, un frère

Tu n’as aller sur le net et oublie mon look

Je n’ai pas le temps avec les commères

Ni de perdre mon temps sur face- book.

 

Toi mon ami, toi le pourri

Non, plus jamais de la vie

Passe ta route, je fais ma vie

Et oublie-moi je t’en prie.

 

N’oublie pas tu l’as dit « qu’il crève vite

On s’occupera de sa femme  »

 Vaurien, méchant, jaloux et hypocrite

Je n’ai même pas pour toi un blâme

 

 

  TOI MON AMI ?

 

J’ai toujours su que tu n’étais pas un ami

Cela ne me fait ni chaud ni froid

J’espère que tu l’as déjà ressenti

Ma religion n’est pas celle des ingrats.

 

         Cher Candidat,

    

 

Un coup de théâtre au sein même de sa propre

Famille politique c’est très possible à n’importe

Quel moment.

 

Etes-vous sûr de vos amis et craignez-vous une

 Trahison   dans la cellule  politique de votre parti ?

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