COMME D’HAB.
On peut largement féliciter et louanger nos
Bons policiers et la B.R.I. qui finissent assez
Souvent d’arrêter tous les malfaiteurs et dirons-
Nous selon la formule très simple :
COMME D’HAB.
Ils ont fait ça entre potes,
Ils accusent le gouvernement
A qui ils portent la faute,
C’est toujours la même chanson
Comme d’hab.
Et ils ont raison
Comme d’hab.
Et c’est nous les couillons
Comme d’hab.
Puisqu’ils ont le pognon
Comme d’hab.
Ce ne sont pas des enfants de chœur
Comme d’hab.
Ils donneront du travail à la B.R.I.
Comme d’hab.
Pour arrêter au plus vite ces malfaiteurs
Comme d’hab.
Qui auront du mal à dépenser leur grisbi.
Comme d’hab.
Encore une fois
Tous on a été très impuissants
Face à tous ces scélérats
Mais on les arrêtera ces brigands
Comme d’hab.
Et quand ils vont casser leur tirelire
La police va finalement les coincer
Comme d’hab.
Ce sera un mauvais souvenir
Mais tous on sera très soulagés
Comme d’hab.
COM. D’ HAB .
On finira par les avoir
Comme d’hab.
Des années de cavale,
Mais un triste jour noir
Dans un contrôle banal
On fini par les avoir
Comme d’hab.
Ils ne veulent pas travailler
Non, pour eux c’est trop fatiguant
Alors ils réfléchissent pour trouver
Un moyen d’avoir beaucoup d’argent
Attaque de dab.
Comme d’hab. ?
Démolition de dab.
Comme d’hab. ?
Attaques à répétitions,
Grand besoin d’argent,
Beaucoup de pognon
Pour se payer des bonbons
Comme d’hab.
Ils font ça tout naturellement
Comme d’hab.
Comme si c’était leur pognon
Comme d’hab.
Ils tuent le temps
A tourner en rond,
A se poser la question
Et étudier un bon plan.
Trouver une solution
Même si ce n’est pas intelligent
Ils s’en foutent de tous les gens
Surtout vous ne faites pas le couillon,
Pas de résistance ni d’opposition
Il faut agir à la résignation,
Si vous perdez votre pognon
Vous seriez peut-être bien vivant.
Lui le toxico en manque
Et qui n’a pas du tout du fric,
Le junkie vite il vous flanque
La frousse ave sa trique
Pour se payer sa mescaline
COM. D’ HAB .
Gare à vous il s’en fout,
Son lysergide, sa psilocybine
C’est ça qui lui rend fou.
Et comme dab.
Il est prêt à tout
Surtout pas de panique
Sinon comme d’hab.
Selon leur langage il te nique
Il cassera tout et tout
Pour avoir du fric
Car pour sa dose il fera tout
Et n’a rien à foutre des flics
Comme d’hab.
Et dès qu’il réussit son coup
Et qu’il peut payer sa dose
Comme d’hab.
Il mettra ses pieds à son cou
S’il ne vous fait pas grand-chose
C’est tant mieux pour vous
Mais ce n’est pas sûr comme d’hab.
En pleine matinée
Avec leur voiture bélier,
Sans se paniquer
Ils ne vont pas hésiter
Pour tout casser et emporter,
Le magot, les gros billets,
Ils sont armés prêts à tuer
Malheur qui veut s’y interposer !
Tranquillement vous qui passez
Allez-vous les confronter,
Jusqu’aux dents ils sont armés.
Ils ont réussi leur coup
Comme dab.
Ils ont pris presque tout
Comme d’hab.
Beaucoup d’argent et de bijoux
Comme d’hab.
Et bien planqués ils se moquent de nous.
Comme d’hab.
COM. D’ HAB.
Ils courent toujours
Comme d’hab.
Par quels moyens, quels détours
Comme d’hab.
On s’interroge toujours
Comme d’hab.
Comment ont-ils pu en plein jour ?
Comme d’hab.
Avec les malfaiteurs
On n’est jamais tranquille
Comme d’hab.
Ils nous font tous peur
Avec tous leurs projectiles
Comme d’hab.
La société est vraiment fêlée
Personne ne veut aller travailler
Comme d’hab.
Mais aller casser, voler
Quitte même à nous tuer
Comme d’hab.
On n’a pas fini de supporter,
De crier, de pleurer, de chialer
Mais la police va tous les mater
Et on sera tous très soulager
Comme d’hab.
Mais le combat n’est pas fini
Car dans la ruche il y a des bandits
Qui préparent des plans très précis
Pour un grand week-end de folies.
On aura encore des grandes frayeurs
Le sang glacé, les jambes qui flageolent
Alors on augmentera la peine des malfaiteurs
Et on les laissera pourrir à réfléchie à la geôle.
Ayons confiance en notre police,
On va tous un jour les avoir
Malgré leur planque et leurs complices
On coffrera tous ces loubards
Comme d’hab.
Oui, on les aura
Comme d’hab.
On les arrêtera
On les démolira
COM. D ‘ HAB.
Comme d’hab.
On ne désespère pas
Comme d’hab.
On les vaincra
Comme d’hab.
On gagnera
Comme d’hab.
On les démantèlera
Comme d’hab.
On les emprisonnera
Comme d’hab.
On les jugera
Comme d’hab.
Cher Candidat,
Il n’y a pas que le grand banditisme qui
Fait recette en France .On n’hésite pas
A agresser en pleine rue en plein jour nos
Mamies qui parfois tombent, se blessent et
Décèdent .Même si les gens n’ont pas de
Travail ce n’est pas très gentil d’attaquer
Qui que ce soit chez lui ou dans la rue et surtout
Des innocents. La loi n’est –elle pas assez dure,
Que doit-on faire pour sévir ces genres de choses ?
Il y très longtemps que notre pays la France
Est sous perfusion intensive .La France est plongée
Dans un coma social profond pour que ça aille mieux
Il lui faudra une bonne et vraie :
RESURRECTION.
Y a-t-il un candidat
Dans cette belle discipline :
Réanimateur de coma,
Prix Nobel de médecine
Alors vite ouvrez vos officines
Dans nos 22 belles régions de France
Il lui faudra plus qu’une dose de morphine
Pour calmer la douleur de sa décadence.
Comme un gruyère plein de trous
Et comme un camembert qui pue
En France rien ne va plus du tout
Et pour personne rien ne va plus.
Un grand et insupportable tsunami économique
A frappé subitement le pays, pauvre de nous
L’avenir de la France et notre sort sont chaotiques,
Sans travail et sans argent que ferons-nous ?
Les laboratoires et la pharmaco vigilance
Sont déjà assez embêtée comme cela
Mais il faudra trouver de toute urgence
Un puissant remède pour le sortir de son coma.
Oui, la France a besoin
D’un très bon économiste
Et surtout le coup de main
D’un grand trader arriviste
Pour renflouer les caisses de l’Etat,
La France aura besoin d’une résurrection
Car après cinq ans dans le coma
Ce n’est pas une utopie mais une constatation.
On ne croit pas au Père Noël
Mais si c’est pour nous consoler
Et donner une parcelle d’étincelle
A notre vie alors laissez nous rêver !
RESURECTION .
Les messies ne sont-ils pas capables
D’un grand miracle inexplicable
Pour nous donner une position confortable,
Mêmes les apolitiques diront que c’est formidable !
En attendant que toutes les poules
Nous montrent leurs dentiers
Non, ne perdons pas la boule
Avec tous nos soucis familiers.
Un coma profond peut durer des années
Espérons qu’en 2012 la France se relèvera
Pour cela les professeurs durs doivent travailler
Saluons leur ténacité et leur grand combat !
Cher Candidat,
Tout le monde attend 2012 pour voir sortir la
France de son coma –alors est ce bien l’année
De tous les remèdes pour notre pays ?
Quel sera vos premiers onguents pour redresser
La France économiquement ?
Tout le monde ne peut pas être l’ami des un et
Des autres mais il y a toujours quelques uns qui nous
Disent qu’ils sont l’ami de Abbon ou de Tudi mais
Qu’en pensent Vanne, Sinice, Sévère, Rustique, Prudent,
Rainier, Parfait, Otton, Osée, Optat, Nonose, Nonon, Miro,
Modeste, Acace, Allore, Aymar, Eddy, Odilon, Justin et Fidèle :
TOI MON AMI ?
Tu dis que tu es mon ami
Mais quand la maladie
Me cloue solidement au lit
Tu dis à mes ennemis :
« Qu’il meurt, qu’il crève
Et qu’on en finisse avec lui,
Que sa maladie l’achève
Lui qui embarrasse la vie. »
Avoir un ami pourri
Je ne suis pas assez fou
Non, non grand merci
Beaucoup, beaucoup.
La délation c’est ta religion
Et la calomnie ta confrérie
Qui empoisonnent les honnêtes gens
Mais je ne suis pas adhéré à ta fratrie.
Si ça t’a toujours réussit méchant
Je te dis fais très attention
Car au sein de tes adhérents
Sais-tu qu’il y a encore plus méchant ?
C’est toi qui le dis,
Secrètement j’en ris
Ouais, toi mon ami.
Oui, mon faux ami
Bien sûr que oui,
Plus que ça mon intime, oui,
Ma parole je te le dis.
Un ami jaloux
Est-ce cela un ami,
Je n’en veux pas du tout
C’est à toi que je dis !
TOI MON AMI ?
Méchant et ingrat tu crois
Même si je ne te dis rien
Que je ne connais pas tout ça
Dès que tu ne touches pas aux miens
Tant que c’est moi ça va
Quant à mes enfants et ma femme
Vaurien et faux gare à toi
Sinon je vais t’éteindre comme une flamme.
A tous mes grands banquets
Tu étais toujours le premier servi
Mais tu ne manques pas de toupet
Salaud la délation, la calomnie
Rue des ingrats tu me remercies
Mais je ne suis pas trop surpris
Car la menterie c’est ta maladie
Et tu n’es pas prêt d’en être guéri.
Si quand je suis là avec toi
Tu as un tel comportement
Aussi méchant avec moi
Pour moi c’est très rassurant.
Car dans les demeures de l’au-delà
Quand je serai pensionnaire,
Si j’ai mon funeste bail avant toi
Ce n’est pas toi méchant frère
Qui me fera une petite prière,
M’offrira une petite lumière,
Pour mon âme messe qui l’éclaire
Mais moi je m’en fou faux- frère.
Si tu cherches un ami, un frère
Tu n’as aller sur le net et oublie mon look
Je n’ai pas le temps avec les commères
Ni de perdre mon temps sur face- book.
Toi mon ami, toi le pourri
Non, plus jamais de la vie
Passe ta route, je fais ma vie
Et oublie-moi je t’en prie.
N’oublie pas tu l’as dit « qu’il crève vite
On s’occupera de sa femme »
Vaurien, méchant, jaloux et hypocrite
Je n’ai même pas pour toi un blâme
TOI MON AMI ?
J’ai toujours su que tu n’étais pas un ami
Cela ne me fait ni chaud ni froid
J’espère que tu l’as déjà ressenti
Ma religion n’est pas celle des ingrats.
Cher Candidat,
Un coup de théâtre au sein même de sa propre
Famille politique c’est très possible à n’importe
Quel moment.
Etes-vous sûr de vos amis et craignez-vous une
Trahison dans la cellule politique de votre parti ?