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Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
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17 avril 2012

L’ADDITION.

            

  C’est bien beau de faire des bêtises de toutes

Sortes :détruire nos abris bus ,nos écoles,voler dans les

Magasins ,mais quand il faut payer ce devient très cher :

 

   L’ADDITION.

 

Tu t’imagines

Tête d’affiche

Dans les magazines,

Même si tu t’en fiches

 

Non,ne sois pas

Si ouf que ça,

Ca t’avance à quoi,

Mais réfléchis,toi.

 

Tête de ouf

Si tu te crois plus ouf

Que certains ouf

Qui se croient ouf

 

Chefs ouf des ouf,

Méfie-toi pignouf

Oui,si tu veux

T’autoproclamer

A qui mieux -mieux

Et jurer devant les têtes brûlées

 

Pape des ouf,

Roi des ouf,

Le plus ouf des ouf,

Ouf, ouf, ouf,

 

On te dit ouf,

Ouf,ouf,ouf,

Sois pas trop ouf,

Méfie-toi pignouf,

 

Gare  à toi coco

Tu n’auras pas le dernier mot

Et pour toi ce sera chaud

Quand tu seras derrière les barreaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 L’ADDITION.

 

Tu as constamment en grippe

Tous les décideurs,législateurs

Et tu cultives dans tes tripes

Un vrai monologue rageur

 

Qui nous fait de la peine

Et dans tes gênes A.D.N.

Poussent constamment en chaîne

Tout un idiotisme de haine :

La violence,l’indifférence,

Le ressentiment,la rancœur,

L’animosité,la vengeance,

 

 

Ton essaim de casseurs

Et le miel de votre rengaine  

Assurément fait peur

Et tout cela vraiment nous gêne.

 

Bâton maréchal,

Casse de vitrine,

Lieutenant du mal,

A quoi tout ça, ça rime ?

 

Ne méprise pas, ne défie pas,

Ne provoque pas,ne refuse pas

Toutes les lois de l’état

Contre tous tes hors la loi.

 

Génération de violence

Ne gâchez  pas votre jeunesse,

Ne détruisez pas votre belle France

Et refusez d’être des démons et diablesses.

 

L’addition coco

Qui paiera l’addition

Si vous êtes ados

N’est-ce pas vos parents ?

 

Ca va être cher l’addition

Pour les uns et les autres,

Pour vos familles,vos parents,

Tes comparses et tous tes potes.

 

 

 

 

 

 L’ADDITION.

 

Et ton lexicon  N.T.M.

Scandé en chaîne,

Tu pousses à la haine

Tous ceux qui te gênent,

 

Les législateurs qui durcissent les lois,

Les policiers qui vous traquent

Vous les bandits et hors la loi

Qui redoutez tant leurs matraques.

 

Toi avec ta bande

Vous cassez tout,

Et toi ma grande

C’est out tu t’en fou ;

 

Et toi mon petit

A cette heure de la nuit

Où tu devrait être au lit

Que fais-tu dehors avec tes amis ?

 

Tu brûles les poubelles

En un laps de temps

Avec ta bandes de rebelles

Qui incendient les maisons.

 

Vous mettez à la rue

Beaucoup de pauvres gens

En disant personne ne nous a vus,

Comment voulez-vous avoir raison ?

 

Avec les vieux vous êtes impolis,

Nique ta mère,nique ton père,

Non, tout cela c’est pas gentil,

Est-ce l’école de ta mère,ton père ?

 

Lui qui mettra pour toi sa main de fer

Dans le feu brûlant de l’enfer

Quand on va t’arrêter lui si fier

Imagine sa réaction avec ta mère.

 

Oui, bien sûr dans tes tripes

Tous les grands décideurs

Tu les as tous en grippe,

La grande école des législateurs.

 

 

 

 

L’ADDITION.

 

 

Et ton monologue rageur

Qui nous fait de la peine

Car avec on essaim de casseurs

Vous cultivez que la haine,

 

Vous crachez votre fiel de malheur

Qui contamine en profondeur

Tous vos autres frères et sœurs

Qui deviennent aussi des casseurs.

 

Et toi t’as tout pour déplaire ton géniteur

Qui pense que tu es un enfant de chœur

Mais les voyous de monseigneur de Malheur

Savent très bien que tu es leur grand pasteur.

 

Tu rages après les législateurs

Qui durcissent la loi pour les vandales

Et qui ont dans le collimateur

Tous les grands faiseurs et auteurs du mal.

 

Tu n’as qu’à te tenir tranquille

Si tu ne veux pas qu’on te fasse la peau

Et ta vie sera beaucoup plus facile

Cela t’évitera certainement les barreaux.

 

 

Tu joues clan contre bande,

Bande contre clan,

Pour nous c’est la même bande

De voyous,de chenapans .

 

Tes parents regardent le J.T.

Et traitent de racailles et de sales ordures

Tous ceux qui brûlent nos cités

Et les maudissent avec une kyrielle d’injures

 

Agités,exténués,révoltés

Ils les accusent de bande de racailles

Mais toi tu n’es pas encore rentré

Savent-ils ce que tu fais loin du bercail ?

 

Ils ne se posent pas la question

Dans ces tristes et funestes moments

 Qui font mal à toute la population

Oui, tu es leur si tellement gentil garçon !

 

 

  L’ADDITION.

 

On ne peut pas dire amen à tout,

On veut dire vous les méchants malfrats,

Vauriens,voyous et méchants loups,

La voyou culture oui,bien sûr tout ça .

 

Non, on n’en en veut pas

Non,non pas pour un sou,

Peut-être un jour l’heure sonnera

Où tu constateras que tu es un fou.

 

votre mal faire

Pourra vous punir

oui,ma sœur,mon frère

pensez à votre avenir.

 

Vous avez déjà terni sa lumière,

C’est quoi votre idéal ?

Poursuivre l’œuvre de Lucifer,

Vous qui cultivez le mal.

 

Iras-tu loin dans ta vie mon ami,

La vie te dira t’elle merci

Et te laissera t’il toujours impuni

Avec toutes tes conneries ?

 

Vous les révoltés et pas si tendres

Qui réduisez tout en cendre

Si c’est pour vous faire entendre

Comment pourrions-nous vous comprendre ?

 

Ce n’est pas en cassant nos bâtiments

Qu’on s’occupera vraiment de vous,

Paralyser votre cité et même le département,

Est-ce une belle réussite pour vous ?

 

Tête de ouf maîtrise ta colère

C’est ouf,c’est ouf

Evite tête de ouf de mal faire,

C’est ouf,c’est ouf !

 

Fais pas pleurer ta mère,

Ton entourage,tes sœurs,

Ta famille, tes frères,

Tes proches,ton géniteur.

 

 

 

 

  L’ADDITION.

 

N’endeuille pas les familles,

Ta ville ,ta communauté,

Est-ce bien de violer les filles,

D’agacer ta cité,ta municipalité ?

 

De t’attaquer aux innocents,

Aux petits vieux,aux malheureux,

Arrête tes conneries il est encore temps

Même si pour toi tout ça c’est un jeu.

 

Ne rends pas plus malheureux

Tout le peuple des nécessiteux

Qui ne vivent déjà de si peu

Dans tes si pauvres banlieues.

 

Les psychologues s’interrogent

Au sujet de votre violence,

De tous ceux qui s’arrogent

Le droit de tuer avec violence.

 

Ta mère regarde la télé

Et condamne tous ces méfaits,

Ton père se sent révolté

Mais si lui l’innocent il savait

 

 Tout ce que tu fais,

Tu sais il te tuerais

Et ça aussi tu le sais

Alors dis fais-tu exprès ?

 

L’addition,oui,l’addition,

Qui paiera l’addition

N’est ce pas vos parents

Et vous en travaux de réparation ?

 

 

L’addition,oui, l’addition

Cela fera mal à vos parents,

Vous méditerez en prison

Il sera pour vous grand temps.

 

L’addition,oui,l’addition

Cela vous fera très mal

En maison de redressement

Ou en prison ce ne sera pas un mal.

 

 

 

 L’ADDITION.

 

Les casses tout risque

C’est bien triste tout ça

Vous condamnez la politique

D’avoir voulu tout ça

 

Mais les impôts locaux

Donneront froid au dos

A tes parents mirauds

Qui ne contrôlent pas ses ados.

 

Pour l’addition ce sera chaud

Lis les journaux, regarde la télévision

Tu réfléchiras peut-être coco

Un jour les keufs viendront chez tes parents.

 

La loi c’est la loi ,

Ne jette –pas un défi à la loi ,

Ne sois pas un hors la loi,

Tu t’en mordras les doigts.

 

 

 

 

     Cher Candidat,

 

   Le problème de la délinquance arrivera -t’on

A le résoudre un jour en France ?  Est-ce vraiment

Le manque de travail qui pousse les gens à voler ,

Ça on pourrait aveuglement le comprendre et les

Excuser mais tout casser ,tout brûler ça c’est autre

Chose ,comment expliquer tout cela ?

 

 

 

  

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