Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
Publicité
Catégories
17 avril 2012

LA REPUBLIQUE DE LA MUSIQUE.

 

Beaucoup ont une double nationalité

Cela ne cache t’il pas quelque chose

Leur si belle patrie :

 

  LA REPUBLIQUE DE LA MUSIQUE.

 

Môme je suis entré à l’école

Avec un cahier et un crayon ?

Cancre j’ai quitté l’école

Ma partition et mon diapason,

 

Et des paroles un peu folles

Sur des cahiers des chansons

Que j’écrivais pendant l’école,

En cachette bien évidemment.

 

La musique, la musique

C’était ma matière préférée

La musique, la musique

J’en ai toujours rêvée

 

La musique, la musique

J’en ai fait mon métier

La musique, la musique

C’est mon métier.

 

La République de la Musique

C’est mon pays

La République de la Musique

C’est ma patrie

 

C’est mon unique Royaume,

La République de la Musique

C’est chez-moi, mon home,

Ma vraie patrie, ma République.

 

La musique, la musique

J’aime, j’aime la musique

La musique, la musique

Vive, vive la musique

La musique,  la musique

J’aime, j’aime la musique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 LA REPUBLIQUE DE LA MUSIQUE.

 

La musique

Ca te met dans l’ambiance

La musique

Ca donne la cadence

 

La musique

Apaise la souffrance

La musique

Embellit la romance

 

La musique

Egaie la victoire

La musique

La musique

Adouci le désespoir

 

La musique, la musique,

J’aime, j’aime, j’aime

Et pour mon requiem

Pavane très typique

 

Allez-y sans problème

La musique, la musique

J’aime, j’aime,  j’aime.

C’est ma drogue la musique ;

 

 

Quand j’étais à l’école

Ma mère devenait folle

Car dans tous mes cahiers

J’écrivais que des chansons

Que j’essayais de chanter

Dans la cour de récréation

 

Ma mère me chantait à tue-tête

Jusqu’à me donner mal à la tête

Est-ce que la musique

C’est un métier

Est-ce que la musique

 

Te donnera à manger

Oui, même si c’est vrai 

Il n’ y a pas de sot métier

La musique comme profession

Appauvrira souvent ta maison.

 

 

 

  LA REPUBLIQUER DE LA MUSIQUE.

 

Fanatiques, oui, fanatiques

On aime tout ce qu’on aime

Ma boulimique de musique

Pour moi c’est sans problème

 

La musique fanatiques

C’est tout ce que j’aime

Dès que c’est de la musique

Pas de blême,  j’aime, j’aime

 

Mais dites-moi fanatiques

Que deviendrai-je sans musique

Si vous voulez m’aider

Je vous en prie s’il vous plaît

Loin, loin de mon pays

Oui, mes frères,  mes amis

   

 

Rapatriez-moi fanatiques

A la République de la Musique

Oui, oui, fanatique mes amis

Expatriez-moi en toute logique

 

A la République de la Musique.

Car la musique, la musique

C’est mon tout, c’est ma vie

La musique, la musique

C’est ma force, c’est ma vie.

 

 Fanatiques si je dois mourir

Et même subir le martyr

Pour mon bien mes frères

Dans cette très sale galère

 

Oui, faites-moi vite partir

A  la République de la Musique

Pour tout heureux bien mourir

Dans cette ambiance dynamique,

 

Oh oui, pour me satisfaire

Faites le pour moi mes frères

Laissez-moi aller mourir

Et pour toujours m’endormir

 

 

 

 

 

LA REPUBLIQUE DE LA MUSIQUE.

 

Au pays de la musique

Car j’aime trop la musique

La musique, la musique

Vive, vive la musique.

 

Car la musique, la musique

C’est mon tout, c’est ma vie

La musique, la musique

C’est ma force, c’est ma vie.

 

Dans ce monde si chimérique

Où tout le monde est malheureux,

La musique, oui, la musique

 Seule me rend vraiment si heureux,

 

Dans toute situation chaotique,

Même si le ciel n’est pas bleu,

La musique, oui, la musique

Seule la musique me rend heureux,

 

Quand ça devient trop merdique

La musique, oui, la musique

Seule me rend  si heureux

Fanatiques, oui, fanatiques

Pour un monde plus pacifique

Seule la musique me rend heureux.

         

 

Fanatiques si je dois mourir

En quelque part sur cette vielle terre,

Et même subir le martyr

Pour mon bien être mes frères,

 

Fanatiques vous tous mes amis

Pourvu que ce soit au pays

De toutes les musiques

La Ré publique de la Musique

 

Pensez-y mes amis

Pour mon passage à l’autre vie

Et pour mon après vie

Laissez-moi finir ma vie

 

 

 

 

 

 

 LA REPUBLIQUE DE LA MUSIQUE.

 

A la République de la musique

Je ne cesserai de vous le dire

Seule la musique peut me guérir

La musique c’est mon élixir

Oui, je deviendrai sans mentir

 

Dingue, dingue sans musique

Car la musique, la musique

C’est mon tout, c’est ma vie

Fanatiques c’est à vous que je dis.

 

Loin de mon pays,

Loin de ma patrie

Vous tous mes amis

Rapatriez -_moi

Loin d’ici là-bas ?

  

 Faites le fanatiques

A la République de la  Musique

Vous tous qui m’écoutez  

Vous tous qui me connaissez

 

Inutile de vous le redire

C’est ma dernière volonté

Je veux mourir et finir

A  la République de la Gaîté,

 

A la République de la Musique,

C’est ma seule vraie religion,

Car la musique ; la musique

Et je suis bien évidemment

 

Un fidèle et fervent pratiquant.

La musique, la musique

Plus qu’un servant dynamique servant

Mais un pape de la musique,

 

 Cher Candidat,

 

Même dans des chansons, on ne

 Ne peut pas dire n’importe quoi ?

Selon vous la chanson c’est un

Des moyens détournés pour faire

Passer certains messages qui

Méritent d’être censuré ?

 

 

 

Quelle peau de colle, comment

S’en débarrasser, oui,

 

        LE PARASITE. 

 

Toute bonté a ses faiblesses

Exploiter toutes mes largesses

Et m’appeler mon ami

Oui, mon œil, j’en ris.

 

Ton amitié c’est quoi ?

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi,

A quoi ça rime tout ça ?

 

Les mains vides jamais d’argent

Avec tout ce que tu me prends

Tu t’en tires bien tout le temps

Mais cela durera t-il longtemps ?              

 

Et si je n’existais  pas

Tu ferais quoi, dis le moi.

Tu serais plus souvent chez toi

Ou à la recherche d’un autre toit

Jamais chez moi

Ca te va comme ça.

 

Dis-moi chez toi

Fait-il trop froid,

Et chez moi ton vrai coco

Assez  ou même trop chaud

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Ta maison est-elle possédée

Ou habitée par des esprits frappeurs

Oui, ces mauvais génies destructeurs

Toujours très difficiles à contrôler ?

 

 

Pour toi la vie est trop belle :

Toujours fourchette chez gamelle

Jamais gamelle chez fourchette

Oui, si j’avais de la galette

J’aurais déjà payé mes dettes

Et gratter moins souvent ma tête.

          

 

 

 

  LE PARASITE.

 

Pour toi  tout est facile

A la campagne ou à la ville

Toujours fil chez aiguille

Jamais aiguille chez fil

 

Si chez-moi c’est chez toi,

Chez toi ce n’est pas chez moi

D’ailleurs je ne sais pas

Où t’habites, toi et si toi

Tu as un toit, un chez toi

Oui, où je ne sais quoi.

 

 

En tous les cas ce que je vois

Toujours chez moi, jamais chez toi

Et si jamais t’as un autre toit

Que chez moi c’est où ça.

 

Toujours chez-moi

Jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi

Ca rime a quoi ?

 

Est –ce boire ma gnole,

Vider ma p’tite fiole,

Piquer ma gamelle ,

Vider mes bouteilles,

 

Emprunter ma bagnole

Et vouloir mes grolles,

Toi  un vrai pot de colle

Et pauvre quidam

Pourquoi pas ma femme ?

 

 

Culot  toi pique assiette

Partout dans l’Hexagone

Tout ce qu’on te donne

Non ce n’est pas des miettes

 

Mais ce n’est jamais à ton goût

Mais tu veux dans ta musette

Toujours emporter un bout,

Vraiment tu te fous de nous.

         

 

 

 

  LE PARASITE.

 

Parasite, parasite,

Bouffe tout

Mange tout

Parasite,  parasite

 

C’est ouf

Ca me bouffe

Parasite, parasite

Ca me gonfle

Et toi parasite, parasite

Tu me gonfles,

 

 

Jamais chez toi

Toujours chez moi

Chez toi les huissiers

Ont-ils tout ramassé,

 

Te reste t’il plus de mobilier

Ou ta maison a-t-elle brûlée ?

Ou bien est ce pour m’emmerder,

Que tu es chez moi toute la journée ?

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Où est ton chez toi,

Moi je ne connais pas.

 

La tempête des profiteurs

A-t-elle balayée ton toit ;

La foudre de l’horreur

Détruit ton chez toi

 

Ou ta maison est elle habitée

Par des revenants frappeurs,

Des fantômes ou hantée

Par des génies de malheur ?

 

Toujours les puces

Chez les chiens

Jamais les chiens

Chez les puces.

 

Parasite, parasite

C’est grâce à moi tu existes,

Parasite, parasite

Si chez moi c’est chez toi parasite

 

  LE PARASITE.

 

Je signe et insiste

Déchire ma carte de visite

Mais crois – moi je resterai chez moi

Car pour moi encore j’insiste

Non, vraiment parasite,

Chez moi ce n’est pas chez toi.

       

Parasite, parasite

Toujours le râtelier

Chez la bouche

Jamais la bouche

 

 Chez le râtelier.

Parasite, parasite

Tu m’empoisonnes la vie

Parasite, parasite

Trouve un autre logis

 

Parasite, parasite

Je ne suis pas ton ami.

Non, parasite, parasite

Car tu parasites ma vie.

 

Parasite, parasite.

 

 

Toujours les poux

Dans les cheveux,

Jamais les cheveux

Chez les poux

 

Parasite, parasite.

Toujours les morpions

Chez l’homme

Jamais l’homme

Chez les morpions

Parasite, parasite.

 

Parasite, parasite

C’est grâce aux autres

Que vraiment tu existes

Sans jamais te gêner

T’es l’hôte chez les autres

 

 

 

 

 

  LE PARASITE.

 

Parasite, parasite

Même si c’est commun

Tu fumes, fumes 

Toujours en commun

Nos blondes, nos brunes

 

Parasite sans gêne,

Sans gêne dans l’âme 

Importun quidam

Oui,  si ça te gêne

 

De rester de temps en temps un peu à jeun

Même pendant le carême

Chez moi ce n’est pas le marché commun

Faut que tu comprennes

 

Ma femme, oui, ma femme

Mon amour suprême

Non, non, non quidam,

Celle que mon cœur aime,

 

C’est pour un,

A savoir ma poire,  

 Et ce sera toujours pour un

   Je te le dis ce soir

 

Non, non ma femme

Ce n’est pas pour ta pomme

Je te le dis homme à homme,

Non, non, non quidam

 

Ni pour toi, ni non plus pour  aucun

Non, non, non quidam

Oui, ma femme c’est ma femme,

On ne veut aucun marché commun

 

 

Je te le dis quidam

D’homme à homme

Non, ma femme

Ce n’est pas comme,

Tous en commun,

Comme mon rhum

Qu’on boit en commun.

 

 

 

 

  LE PARASITE.

         

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi :

Bien m’exploiter, moi ?

 

Non, tu ne dors pas

A la belle étoile,

Tu veux me foutre moi

Bien plus qu’à poil

 

En me dépouillant vraiment

Vraiment jusqu’à l’os.

Si mes chers gosses

Ont assez pour se mettre

Sous leurs petites dents

 Tu te crois malin peut être

 

Abuser d’un couillon

C’est quoi un tel comportement

Et dis ça va durer longtemps ?

C’est sûr bien sûr que non.

 

 

Parasite, parasite

Toujours bernard-l’ermite 

Dans la coquille,

Jamais la coquille

Chez bernard-l’hermite,

Parasite, parasite.

 

T’as rien d’autre

A faire mon cher

Que d’être chez les autres

T’es pire mon cher

 

Que les colles roche

De nos rivières

Car là où ça cloche

Tu es toujours collé

Chez nous sans te gêner

Et tu crois qu’on est obligé.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité