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Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
Lettre ouverte aux présidentiables de mai 2012.
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17 avril 2012

CROIS SI TU VEUX.

 

De nos jours tout le monde perd

Espoir et beaucoup te diront

Bien sûr avec raison :

 

      CROIS SI TU VEUX.

 

Oui, crois si tu veux

Aussi fort que tu peux

Que La Jéhanne est morte pucelle,

Que l’ovni habite dans le ciel,

 

Que Jésus avait des sœurs et frères

Et que Dieu s’est incarné sur terre

Mais ne crois pas dur comme fer

Que des hommes nos frères

Puissent changer de caractère.

 

Depuis la Création,

Depuis Eve et Adam

De génération en génération

De filiation en filiation

 

Tous mes frères, ma sœur,

Tout homme est menteur,

Envieux, lâche, jaloux,

Morveux, injuste, filou,

 

Coléreux, cynique, fratricide,

Vorace, irréligieux, homicide,

Avide, rêveur, adultère,

Arnaqueur, faux frère

Oh mon Dieu quel caractère !

           

Crois si tu veux

Que certains vieux

Sont des vrais dieux,

Que Jésus avait une femme

Que des démons hideux

Possèdent nos femmes

(Copulent avec nos femmes)

 

Que l’homme vient du singe ?

Que les indigènes vivent sans linge, 

Qu’on peut transmuter le plomb en or

Que le cœur de l’homme est un trésor,

 

 

 

 

 

CROIS SI TU VEUX.

 

Que les revenants à la réincarnation

Les gens de couleur deviennent blancs,

Que La Jéhanne est morte pucelle

Et Jésus avait une vie sexuelle

 

Mais ne crois pas mon frère

Que les hommes sur cette terre

Puissent changer de caractère

Car ils sont pour la plupart voleurs,

Bluffeurs, soutireurs, arnaqueurs

Extorqueurs, menteurs, carotteurs  …

 

Crois si tu veux

Avec foi, avec tes yeux,

Avec ton cœur et tes convictions ?

Avec la force de tes sentiments

 

Que la pierre de jaspe rouge porte en elle

Toute la force du Saint Esprit,

Que tous nos péchés seront punis ;

Que le comte de Saint Germain est immortel

 

Incrédule mon vieux

Crois si tu le veux

Que les derniers seront les premiers

Et les premiers seront les derniers

 

Mais ne crois pas mon frère

Que les hommes sur cette terre

Puissent changer de caractère

Car ils sont de plus en plus fiers,

 

Hypocrites, moqueurs, bavards,

Injustes, méchants, indifférents,

Hautains, jaloux, faux, vantards,

Trompeurs et arracheurs de dents.

 

Crois si tu veux

Autant que tu veux

Que la foi déplace les montagnes,

Que les loups garous à la campagne

S’accouplent avec nos femmes,

Que Le Christ aimait les femmes  …

 

 

 

 

 

CROIS SI TU VEUX.

 

Crois si tu veux

Aussi fort que tu le veux

Que les premiers seront les derniers

Au Royaume du Jugement Dernier,

 

Que quand il n’y a plus il y en a encore

Mais avant d’ouvrir ton coffre fort

Non, ne crois pas mon frère

Que sur notre vieille terre

 

Les hommes nos frères

Puissent changer de caractère

Car ils ont comme religion

Le vice, l’injustice, la délation,

La méchanceté, la fausseté,

L’incivilité, l’immoralité …

 

Crois si tu veux

Aussi fort que tu veux

Que Jésus avait des frères utérins,

Que la feuille du mûrier devient satin,

Que les médecins font les cimetières bossus,

Que tous, tous, tous t’aiment, moi non plus

 

Oui, crois si tu veux

Autant fort que tu veux

Que le jour précède la nuit,

Que la nuit les chats sont gris

Mais ne crois pas mon ami

 

Que sur cette vieille terre,

Crois – moi ma sœur, mon frère,

Le monde changera de caractère

Canaille, faux, escroc, faussaire,

 

Imposteur, traître, égoïste,

Filou, menteur, gourou de la méchanceté,

Calomnieux, xénophobe, raciste

Voilà un peu son lourd C. V.

Et c’est comme cela dans le monde entier .

 

 

 

 

 

 

 

 

 CROIS SI TU VEUX.

 

  Cher Candidat,

 

Dites nous vraiment, qu’avec vous,

Au pouvoir, demain, le monde

Changera de méthode, de politique,

De raisonnement, de comportement,

Que les couleurs de la vie seront  plus

Belles, plus vives, plus gaies, oui,

Grâce à vous ?

Alors en quoi et dans quels domaines ?

 

 

 

Quelle peau de colle,comment

S’en débarrasser, oui,

 

       LE PARASITE. 

 

Toute bonté a ses faiblesses

Exploiter toutes mes largesses

Et m’appeler mon ami

Oui, mon œil, j’en ris.

 

Ton amitié c’est quoi ?

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi ,

A quoi ça rime tout ça ?

 

Les mains vides jamais d’argent

Avec tout ce que tu me prends

Tu t’en tires bien tout le temps

Mais cela durera t-il longtemps ?              

 

Et si je n’existais  pas

Tu ferais quoi, dis le moi.

Tu serais plus souvent chez toi

Ou à la recherche d’un autre toit

Jamais chez moi

Ca te va comme ça.

 

Dis-moi chez toi

Fait-il trop froid,

Et chez moi ton vrai coco

Assez  ou même trop chaud

 

 

 

 

  Le parasite ;

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Ta maison est-elle possédée

Ou habitée par des esprits frappeurs

Oui, ces mauvais génies destructeurs

Toujours très difficiles à contrôler ?

 

Pour toi la vie est trop belle :

Toujours fourchette chez gamelle

Jamais gamelle chez fourchette

Oui, si j’avais de la galette

J’aurais déjà payé mes dettes

Et gratter moins souvent ma tête.

 

Pour toi  tout est facile

A la campagne ou à la ville

Toujours fil chez aiguille

Jamais aiguille chez fil

 

Si chez-moi c’est chez toi,

Chez toi ce n’est pas chez moi

D’ailleurs je ne sais pas

Où t’habites, toi et si toi

Tu as un toit, un chez toi

Oui, où je ne sais quoi.

 

En tous les cas ce que je vois

Toujours chez moi, jamais chez toi

Et si jamais t’as un autre toit

Que chez moi c’est où ça.

 

Toujours chez-moi

Jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi

Ca rime a quoi ?

 

Est –ce boire ma gnole,

Vider ma p’tite fiole,

Piquer ma gamelle ,

Vider mes bouteilles,

 

Emprunter ma bagnole

Et vouloir mes grolles,

Toi  un vrai pot de colle

Et pauvre quidam

Pourquoi pas ma femme ?

 

 

  LE PARASITE.

 

Culot  toi pique assiette

Partout dans l’Hexagone

Tout ce qu’on te donne

Non ce n’est pas des miettes

 

Mais ce n’est jamais à ton goût

Mais tu veux dans ta musette

Toujours emporter un bout,

Vraiment tu te fous de nous.

 

Parasite, parasite,

Bouffe tout

Mange tout

Parasite,  parasite

 

C’est ouf

Ca me bouffe

Parasite, parasite

Ca me gonfle

Et toi parasite, parasite

Tu me gonfles,

 

Jamais chez toi

Toujours chez moi

Chez toi les huissiers

Ont-ils tout ramassé,

 

Te reste t’il plus de mobilier

Ou ta maison a-t-elle brûlée ?

Ou bien est ce pour m’emmerder,

Que tu es chez moi toute la journée ?

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Où est ton chez toi,

Moi je ne connais pas.

 

La tempête des profiteurs

A-t-elle balayée ton toit ;

La foudre de l’horreur

Détruit ton chez toi

 

Ou ta maison est elle habitée

Par des revenants frappeurs ,

Des fantômes ou hantée

Par des génies de malheur ?

 

 

  Le parasite ;

 

Toujours les puces

Chez les chiens

Jamais les chiens

Chez les puces.

 

Parasite, parasite

C’est grâce à moi tu existes,

Parasite, parasite

Si chez moi c’est chez toi parasite

 

Je signe et insiste

Déchire ma carte de visite

Mais crois – moi je resterai chez moi

Car pour moi encore j’insiste

Non, vraiment parasite,

Chez moi ce n’est pas chez toi.

          

Parasite, parasite

Toujours le râtelier

Chez la bouche

Jamais la bouche

 

 Chez le râtelier.

Parasite, parasite

Tu m’empoisonnes la vie

Parasite, parasite

Trouve un autre logis

 

Parasite, parasite

Je ne suis pas ton ami.

Non, parasite, parasite

Car tu parasites ma vie.

 

Parasite, parasite.

toujours les poux

Dans les cheveux,

Jamais les cheveux

Chez les poux

 

Parasite, parasite.

Toujours les morpions

Chez l’homme

Jamais l’homme

Chez les morpions

Parasite, parasite.

 

 

 

 LE PARASITE .

 

Parasite, parasite

C’est grâce aux autres

Que vraiment tu existes

Sans jamais te gêner

T’es l’hôte chez les autres

 

Parasite, parasite

Même si c’est commun

Tu fumes, fumes 

Toujours en commun

Nos blondes, nos brunes

              

Parasite sans gêne,

Sans gêne dans l’âme 

Importun quidam

Oui,  si ça te gêne

 

De rester de temps en temps un peu à jeun

Même pendant le carême

Chez moi ce n’est pas le marché commun

Faut que tu comprennes

 

Ma femme, oui, ma femme

Mon amour suprême

Non, non, non quidam,

Celle que mon cœur aime,

 

C’est pour un,

A savoir ma poire,  

 Et ce sera toujours pour un

   Je te le dis ce soir

 

Non, non ma femme

Ce n’est pas pour ta pomme

Je te le dis homme à homme,

Non, non, non quidam

 

Ni pour toi, ni non plus pour  aucun

Non, non, non quidam

Oui, ma femme c’est ma femme,

On ne veut aucun marché commun

 

 

 

 

 

 

  LE PARASITE .

 

Je te le dis quidam

D’homme à homme

Non, ma femme

Ce n’est pas comme,

Tous en commun,

Comme mon rhum

Qu’on boit en commun.

         

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi :

Bien m’exploiter, moi ?

 

Non, tu ne dors pas

A la belle étoile,

Tu veux me foutre moi

Bien plus qu’à poil

 

En me dépouillant vraiment

Vraiment jusqu’à l’os.

Si mes chers gosses

Ont assez pour se mettre

Sous leurs petites dents

 Tu te crois malin peut être

 

Abuser d’un couillon

C’est quoi un tel comportement

Et dis ça va durer longtemps ?

C’est sûr bien sûr que non.

 

Parasite, parasite

Toujours bernard-l’ermite 

Dans la coquille,

Jamais la coquille

Chez bernard-l’hermite,

Parasite, parasite.

 

T’as rien d’autre

A faire mon cher

Que d’être chez les autres

T’es pire mon cher

 

Que les colles roche

De nos rivières

Car là où ça cloche

Tu es toujours collé

Chez nous sans te gêner

Et tu crois qu’on est obligé.

 

  LE PARASITE .

 

 

Quelle peau de colle,comment

S’en débarrasser, oui,

Non, avec toi ce n’est pas marrant ,

Tu me pourris la vie .

    

 

Toute bonté a ses faiblesses

Exploiter toutes mes largesses

Et m’appeler mon ami

Oui, mon œil, j’en ris.

 

Ton amitié c’est quoi ?

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi ,

A quoi ça rime tout ça ?

 

Les mains vides jamais d’argent

Avec tout ce que tu me prends

Tu t’en tires bien tout le temps

Mais cela durera t-il longtemps ?              

 

Et si je n’existais  pas

Tu ferais quoi, dis le moi.

Tu serais plus souvent chez toi

Ou à la recherche d’un autre toit

Jamais chez moi

Ca te va comme ça.

 

Dis-moi chez toi

Fait-il trop froid,

Et chez moi ton vrai coco

Assez  ou même trop chaud

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Ta maison est-elle possédée

Ou habitée par des esprits frappeurs

Oui, ces mauvais génies destructeurs

Toujours très difficiles à contrôler ?

 

Pour toi la vie est trop belle :

Toujours fourchette chez gamelle

Jamais gamelle chez fourchette

Oui, si j’avais de la galette

J’aurais déjà payé mes dettes

Et gratter moins souvent ma tête.

 

  LE PARASITE .          

 

Pour toi  tout est facile

A la campagne ou à la ville

Toujours fil chez aiguille

Jamais aiguille chez fil

 

Si chez-moi c’est chez toi,

Chez toi ce n’est pas chez moi

D’ailleurs je ne sais pas

Où t’habites, toi et si toi

Tu as un toit, un chez toi

Oui, où je ne sais quoi.

 

En tous les cas ce que je vois

Toujours chez moi, jamais chez toi

Et si jamais t’as un autre toit

Que chez moi c’est où ça.

 

Toujours chez-moi

Jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi

Ca rime a quoi ?

 

Est –ce boire ma gnole,

Vider ma p’tite fiole,

Piquer ma gamelle ,

Vider mes bouteilles,

 

Emprunter ma bagnole

Et vouloir mes grolles,

Toi  un vrai pot de colle

Et pauvre quidam

Pourquoi pas ma femme ?

 

Culot  toi pique assiette

Partout dans l’Hexagone

Tout ce qu’on te donne

Non ce n’est pas des miettes

 

Mais ce n’est jamais à ton goût

Mais tu veux dans ta musette

Toujours emporter un bout,

Vraiment tu te fous de nous.

 

Parasite, parasite,

Bouffe tout

Mange tout

Parasite,  parasite

 LE PARASITE .

 

C’est ouf

Ca me bouffe

Parasite, parasite

Ca me gonfle

Et toi parasite, parasite

Tu me gonfles,

 

Jamais chez toi

Toujours chez moi

Chez toi les huissiers

Ont-ils tout ramassé,

 

Te reste t’il plus de mobilier

Ou ta maison a-t-elle brûlée ?

Ou bien est ce pour m’emmerder,

Que tu es chez moi toute la journée ?

 

Toujours chez moi

Jamais chez toi

Où est ton chez toi,

Moi je ne connais pas.

 

La tempête des profiteurs

A-t-elle balayée ton toit ;

La foudre de l’horreur

Détruit ton chez toi

 

Ou ta maison est elle habitée

Par des revenants frappeurs ,

Des fantômes ou hantée

Par des génies de malheur ?

 

Toujours les puces

Chez les chiens

Jamais les chiens

Chez les puces.

 

Parasite, parasite

C’est grâce à moi tu existes,

Parasite, parasite

Si chez moi c’est chez toi parasite

 

Je signe et insiste

Déchire ma carte de visite

Mais crois – moi je resterai chez moi

Car pour moi encore j’insiste

Non, vraiment parasite,

Chez moi ce n’est pas chez toi.

          

 LE PARASITE .

 

Parasite, parasite

Toujours le râtelier

Chez la bouche

Jamais la bouche

 

 Chez le râtelier.

Parasite, parasite

Tu m’empoisonnes la vie

Parasite, parasite

Trouve un autre logis

 

Parasite, parasite

Je ne suis pas ton ami.

Non, parasite, parasite

Car tu parasites ma vie.

 

Parasite, parasite.

 

Toujours les poux

Dans les cheveux,

Jamais les cheveux

Chez les poux

 

Parasite, parasite.

Toujours les morpions

Chez l’homme

Jamais l’homme

Chez les morpions

Parasite, parasite.

 

Parasite, parasite

C’est grâce aux autres

Que vraiment tu existes

Sans jamais te gêner

T’es l’hôte chez les autres

 

Parasite, parasite

Même si c’est commun

Tu fumes, fumes 

Toujours en commun

Nos blondes, nos brunes

 

Parasite sans gêne,

Sans gêne dans l’âme 

Importun quidam

Oui,  si ça te gêne

 

 

  LE PARASITE .

 

De rester de temps en temps un peu à jeun

Même pendant le carême

Chez moi ce n’est pas le marché commun

Faut que tu comprennes

 

Ma femme, oui, ma femme

Mon amour suprême

Non, non, non quidam,

Celle que mon cœur aime,

 

C’est pour un,

A savoir ma poire,  

 Et ce sera toujours pour un

   Je te le dis ce soir

 

Non, non ma femme

Ce n’est pas pour ta pomme

Je te le dis homme à homme,

Non, non, non quidam

 

Ni pour toi, ni non plus pour  aucun

Non, non, non quidam

Oui, ma femme c’est ma femme,

On ne veut aucun marché commun

 

Je te le dis quidam

D’homme à homme

Non, ma femme

Ce n’est pas comme,

Tous en commun,

Comme mon rhum

Qu’on boit en commun.

         

Toujours chez moi

Non, jamais chez toi

Ton amitié c’est quoi :

Bien m’exploiter, moi ?

 

Non, tu ne dors pas

A la belle étoile,

Tu veux me foutre moi

Bien plus qu’à poil

 

En me dépouillant vraiment ,

Vraiment jusqu’à l’os.

Tu crois abuser d’un couillon ;

Si mes chers gosses

 

LE PARASITE .

 

Ont assez pour se mettre

Sous leurs petites dents ,

 Tu te crois malin peut être

En me prenant pour un con ;

 

Abuser d’un couillon

C’est quoi un tel comportement ,

Et dis ça va durer longtemps ?

C’est sûr bien sûr que non.

 

Parasite, parasite

Toujours bernard-l’ermite 

Dans la coquille,

Jamais la coquille

Chez bernard-l’hermite,

Parasite, parasite.

 

T’as rien d’autre

A faire mon cher

Que d’être chez les autres

T’es pire mon cher

 

Que les colles roche

De nos rivières

Car là où ça cloche

Tu es toujours collé

Chez nous sans te gêner

Et tu crois qu’on est obligé.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

           

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